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2 octobre 2008 4 02 /10 /octobre /2008 00:37

François Marie Arouet, dit Voltaire, né le 21 novembre 1694[1] à Paris où il est mort le 30 mai 1778, est un écrivain et philosophe français. Il est admis à l'Académie française en 1746.

Naissance et origines

François-Marie Arouet Le Jeune, dit plus tard Voltaire, est né officiellement le 21 novembre 1694 à Paris, et baptisé le lendemain, dans une famille de la riche bourgeoisie parisienne. À plusieurs reprises, il affirmera être né en réalité neuf mois plus tôt le 20 février 1694 : le baptême aurait été retardé du fait du peu d'espoir de survie de l'enfant. Ses parents sont François Arouet, notaire puis receveur des épices à la Cour des Comptes et Marie Marguerite d'Aumart, d'une famille proche de la noblesse de robe. Son frère aîné sera un sympathisant janséniste. Du fait de son esprit frondeur, de ses relations libertines et surtout de sa vocation de poète, il aura des relations difficiles avec son père. Cause ou conséquence de cette inimitié, Voltaire s'est à plusieurs reprises dit fils d'un Monsieur de Rochebrune, « mousquetaire, officier, auteur ». Sa mère meurt en 1701 à l'âge de 42 ans.

Plusieurs hypothèses sur l'origine du pseudonyme « Voltaire » ont été formulées et ont longtemps fait débat[2]:

  • Ce serait l'anagramme de AROUET L(e) J(eune) ou plutôt de AROVET L(e) I(eune) en lettres capitales latines où U s'écrit V et J s'écrit I. AROVETLI donne VOLTAIRE. C'est l'hypothèse la plus sérieuse, et la plus souvent évoquée dans toutes les publications.
  • Il s'agirait de l'anagramme phonétique d'Airvault, nom d'un bourg poitevin d'où est originaire sa famille.
  • Ce peut être également le syntagme verbal signifiant en ancien français celui que l'on « voulait-faire-taire » (vol-taire), à cause de sa pensée novatrice.
  • Il peut s'agir de la contraction de Volontaire avec syncope de la syllabe intérieure on.
  • On pense également à l'anagramme syllabique et phonétique de « révolté » : révolté devient re-vol-tai, qui donne Voltaire

Études

Il commence ses études en 1704 au collège Louis-le-Grand dirigés par les Jésuites. Il y fait de brillantes études de rhétorique et de philosophie, obtient des premiers prix. Tout en étant fort critique des Jésuites, il garda toute sa vie une grande admiration pour ses professeurs et les grandes entreprises missionnaires de la Compagnie de Jésus, en Chine et au Paraguay. L'éducation reçue l'initie aux plaisirs de la conversation et du théâtre. Il devient l'ami des frères d'Argenson, René-Louis et Marc-Pierre, futurs ministres du roi Louis XV.

Vers 1706, il compose une tragédie Amulius et Numitor ; on en trouvera plus tard des extraits qui seront publiés au XIXe siècle[3]. Après sa classe de philosophie, il quitte le collège en 1711 pour s'inscrire à l'école de droit de Paris.

Œuvre

Voltaire a mené une carrière d'homme de lettres que ce soit dans le domaine de la poésie ou dans celui du théâtre. C'est d'ailleurs pour ses pièces qu'il souhaitait être reconnu de la postérité. Si aujourd'hui elles sont tombées dans l'oubli, elles ont toutefois fait partie du répertoire théâtral durant presque deux siècles. Parmi la soixantaine de pièces qu'il écrivit, l'histoire littéraire a retenu notamment Zaïre (1732), Adélaïde du Guesclin (1734), Alzire ou les Américains (1736), Mahomet ou le Fanatisme (1741), La Mérope française (1743), Sémiramis (1748), Nanine, ou le préjugé vaincu (1749), Le Duc de Foix (1752), L'Orphelin de la Chine (1755), Le Café ou l'Écossaise (1760), Tancrède (1760), Les Scythes (1767), ou encore Les Lois de Minos (1774). Les aspects exotiques de certaines pièces sont inspirés des Lettres édifiantes et curieuses dont il était un lecteur avide. Il fut du reste considéré, en son siècle, comme le successeur de Corneille et de Racine, parfois même leur triomphateur ; ses pièces eurent un immense succès, et l'auteur connut la consécration en 1778 lorsque, sur la scène de la Comédie française, son buste fut couronné de lauriers[6], devant un parterre enthousiaste.

Voltaire a collaboré quelquefois avec Rameau pour des œuvres lyriques : le projet commun le plus ambitieux (l'opéra sacré Samson) finit par être abandonné sans être représenté, condamné par la censure (1733-1736). Il y eut ensuite (1745) une comédie-ballet, La Princesse de Navarre et un opéra-ballet, Le Temple de la Gloire de l'époque où Voltaire était encore courtisan.

La correspondance de Voltaire constitue une partie importante et conséquente de sa production écrite. Sont recensées 23 000 lettres et il est considéré comme l'un des épistoliers les plus prolifiques de son siècle. Sa correspondance révèle plusieurs facettes peu connues de sa personnalité. Il entrenait de longues correspondances avec ses contemporain(e)s, telle la salonnière madame du Deffand.

Voltaire est surtout lu aujourd'hui pour ses contes. Candide, Zadig, entre autres, font partie des textes incontournables du XVIIIe siècle et occupent une place de choix au sein de la culture française.

Un précurseur du Revenu citoyen

La nouvelle de Voltaire L'Homme aux quarante écus part de la mesure en arpents du royaume et de la valeur moyenne locative de la terre par arpent. Si l'on répartissait cette somme entre tous les sujets du royaume, cela ferait à chacun la rente de quarante écus, dont il munit son héros. Ce principe est exactement celui qui est implicitement sous-jacent au Revenu citoyen, à savoir la part inhérente de rente minimale que peut espérer tout un chacun, du fait du patrimoine constitué par les générations antérieures. Il peut aider à survivre, mais dans des conditions seulement très modestes.

Aspects divers

Voltaire et l'argent

Voltaire est mort à la tête d'une immense fortune : « un des premiers revenus de France, dit-on ! » (Jean Goldzink, Voltaire, ISBN 2070530795).

Ses revenus viendraient :

Il n'a guère abordé le sujet, et l'on considère qu'il a gardé le secret dans deux domaines : ses affaires, et ses amours avec sa nièce.

Voltaire et l'esclavagisme

Voltaire a fermement condamné l'esclavagisme. Le texte le plus célèbre est la dénonciation des mutilations de l'esclave de Surinam dans Candide [9] mais son corpus comporte plusieurs autres passages intéressants. Dans le « Commentaire sur l'Esprit des lois » (1777), il félicite Montesquieu d'avoir jeté l'opprobre sur cette odieuse pratique. [10]

Il s'est également enthousiasmé pour la libération de leurs esclaves par les Quakers de Pennsylvanie en 1769.

En compagnie de son avocat et ami Christin, il a lutté lors des dernières années de sa vie pour la libération des « esclaves » du Jura qui constituaient les derniers serfs présents en France et qui, en vertu du privilège de la main-morte, étaient soumis aux moines du chapitre de Saint-Claude (Jura). C'est un des rares combats politiques qu'il ait perdu ; les serfs ne furent affranchis que lors de la Révolution française, dont Voltaire inspira certains des principes.

A tort, on a souvent prétendu que Voltaire s'était enrichi en ayant participé à la traite des noirs. On invoque à l'appui de cette thèse une lettre qu'il aurait écrite à un négrier de Nantes pour le remercier de lui avoir fait gagner 600 000 livres par ce biais. En fait, cette prétendue lettre est un faux [11].

Essais sur les mœurs et l'esprit des nations (1756) : « Nous n'achetons des esclaves domestiques que chez les Nègres ; on nous reproche ce commerce. Un peuple qui trafique de ses enfants est encore plus condamnable que l'acheteur. Ce négoce démontre notre supériorité ; celui qui se donne un maître était né pour en avoir. »

Voltaire et l'antisémitisme

Parmi les auteurs modernes, d'aucuns désignent Voltaire comme « antisémite »[12]. Ils s'appuient notamment sur le fait que Voltaire écrive dans l'article « Tolérance » du Dictionnaire philosophique : « C'est à regret que je parle des Juifs : cette nation est, à bien des égards, la plus détestable qui ait jamais souillé la terre. Mais tout absurde et atroce qu'elle était, la secte des saducéens fut paisible et honorée, quoiqu'elle ne crût point l'immortalité de l'âme, pendant que les pharisiens la croyaient[13]. »

L'historien de la Shoah, Léon Poliakov, qui a intitulé De Voltaire à Wagner le tome III de son Histoire de l'antisémitisme fait de Voltaire, « le pire antisémite français du XVIIIe siècle[14] ». Selon lui ce sentiment se serait aggravé dans les quinze dernières années de la vie de Voltaire. Il paraîtrait alors lié au combat du philosophe contre l'église chrétienne. Pour Pierre-André Taguieff[15], « Les admirateurs inconditionnels de la « philosophie des Lumières », s'ils prennent la peine de lire le troisième tome (De Voltaire à Wagner) de l'Histoire de l'antisémitisme, paru en 1968, ne peuvent que nuancer leurs jugements sur des penseurs comme Voltaire ou le baron d'Holbach, qui ont reformulé l'antijudaïsme dans le code culturel « progressiste » de la lutte contre les préjugés et les superstitions ».

Cependant, pour Bernard Lazare, « si Voltaire fut un ardent judéophobe, les idées que lui et les encyclopédistes représentaient n'étaient pas hostiles aux Juifs, puisque c'étaient des idées de liberté et d'égalité universelle[16]. »

D'autres notent que l'existence de passages contradictoires[17] dans l'œuvre de Voltaire ne permet pas de conclure péremptoirement au racisme ou à l'antisémitisme du philosophe. « L'antisémitisme n'a jamais cherché sa doctrine chez Voltaire », indique ainsi Roland Desné, qui écrit : « Il est non moins vrai que ce n'est pas d'abord chez Voltaire qu'on trouve des raisons pour combattre l'antisémitisme. Pour ce combat, il y a d'abord l'expérience et les raisons de notre temps. Ce qui ne signifie pas que Voltaire, en compagnie de quelques autres, n'ait pas sa place dans la lointaine genèse de l'histoire de ces raisons-là[18]. »

Voltaire et l'islam

Voltaire considère jusqu'en 1745, Mahomet comme un « imposteur », un « faux prophète », un « fanatique » et un « hypocrite »[19] mais le décrit aussi comme un « enthousiaste » et « grand homme » à l'image d'Alexandre le Grand[20].

Si Voltaire est hostile à Mahomet et à l'islam avant ses recherches pour la documentation historique du Siècle de Louis XIV et de l'Essai sur les Mœurs, c'est qu'avant 1745 ses sources sur la civilisation islamique sont des ouvrages de « tradition dévote hostile au fondateur de l'islam »[21] tous chargés d'une longue histoire d'hostilité entre Occidentaux et Orientaux[22].

Par la suite, lorsque Voltaire se détache des sources héritées du Moyen Âge, notamment après avoir lu Henri de Boulainvilliers et Sale[23], sa perspective change radicalement et il refusera ensuite de voir en Mahomet un illettré : il ne peut imaginer qu'un homme qui avait été « négociant, poète, législateur et souverain ne sut pas signer son nom » comme il l'exprime dans le Dictionnaire philosophique (article sur le Coran). Comme Boulainvilliers et Sale, Voltaire préfère utiliser l'islam comme un subterfuge pour attaquer le christianisme qu'il considère comme « la plus ridicule, la plus absurde et la plus sanglante religion qui ait jamais infecté le monde[24]. » Par contraste, il vante la doctrine musulmane pour sa grande simplicité : « Il n'y a qu'un Dieu et Mahomet est son prophète[25]. »

L'évolution de Voltaire sur l'islam arrive à son point culminant avec Examen important de milord Bolingbroke ou le tombeau du fanatisme[26]. Jésus y est caricaturé « comme un chef de parti », un « gueux », un homme « de la lie du peuple » qui voulait former une secte[26]. Par contre, Mahomet quant à lui avait établi un culte qui « était sans doute plus sensé que le christianisme. On n'y adorait point un juif en abhorrant les juifs ; on n'y appelait point une juive mère de Dieu ; on n'y tombait point dans le blasphème extravagant de dire que trois dieux font un dieu ; enfin, on n'y mangeait pas ce dieu qu'on adorait et on n'allait pas rendre à la selle son créateur[27]. » La religion qu'apporte Mahomet était en revanche « le simple théisme, la religion naturelle et par conséquent la seule véritable[27]. »

Comme beaucoup d'autres déistes, Voltaire était attiré par la rationalité apparente de l'islam, « religion sans clergé, sans miracle et sans mystères[25]. » Ainsi, entre 1742, date à laquelle Voltaire a présenté sa pièce de théâtre Le Fanatisme ou Mahomet et sa dernière phase sur l'islam qui se situe entre 1768 et 1772, le chemin parcouru est long.

Voltaire et les Protestants (à compléter)

L'engagement de Voltaire pour la liberté religieuse est célèbre, et un des épisode les plus connus en est l'affaire Calas. Ce protestant, injustement accusé d'avoir tué son fils qui aurait voulu se convertir au catholicisme est mort roué en 1762. En 1763, Voltaire publie son "Traité sur la tolérance à l'occasion de la mort de Jean Calas" qui bien qu'interdit aura un retentissement extraordinaire et amènera à la réhabilitation de Calas 2 ans plus tard. Au départ il n'éprouvait pas pour lui de sympathies particulières, au point d'écrire le 22 mars 1762, dans une lettre privée au conseiller Le Bault : « Nous ne valons pas grand'chose, mais les huguenots sont pires que nous, et de plus ils déclament contre la comédie ». Il venait alors d'apprendre l'exécution de Calas et, encore mal informé, il croyait à sa culpabilité. Mais des renseignements lui parviennent et, le 4 avril, il écrit à Damilaville : « Il est avéré que les juges toulousains ont roué le plus innocent des hommes. Presque tout le Languedoc en gémit avec horreur. Les nations étrangères, qui nous haïssent et qui nous battent, sont saisies d'indignation. Jamais, depuis le jour de la Saint-Barthélemy, rien n'a tant déshonoré la nature humaine. Criez, et qu'on crie. » Et il se lance dans le combat pour la réhabilitation. En 1765, Voltaire prend fait et cause pour la famille Sirven, dans une affaire très similaire; cette fois ci il réussira à éviter la mort aux parents. Cependant, bien qu'impressionné par la théologie des quakers, et révolté par le massacre de la Saint-Barthélemy (Voltaire était pris de malaises tous les 24 août), Voltaire n'a pas de sympathie particulière pour le protestantisme établi[28]. Dans sa lettre du 26 juillet 1769 à la duchesse de Choiseul il dit bien crûment : « Il y a dans le royaume des Francs environ trois cent mille fous qui sont cruellement traités par d’autres fous depuis longtemps. »

Informations complémentaires

  • L'altercation avec le chevalier de Rohan :
Lors d'une sortie dans un théâtre parisien, Voltaire rencontre le chevalier de Rohan, un représentant d'une des grandes familles de la noblesse française. Voltaire lui dit alors : « Monsieur, je commence mon nom pendant que vous finissez le vôtre ».
Le noble salue poliment Voltaire.
Quelques jours plus tard, Voltaire est invité à déjeuner chez le chevalier de Rohan. Une fois son fiacre arrêté à l'intérieur de la résidence, les serviteurs bastonnent le jeune Arouet, puis le font embastiller.
  • On qualifia souvent Voltaire de franc-maçon[29] sans tablier, car il s'était tenu à l'écart de cette confrérie bien qu'il eût des conceptions voisines. Au soir de sa vie, il accepta pourtant d'entrer dans la loge des Neuf Sœurs (que fréquentait aussi Benjamin Franklin). On le dispensa vu son âge des habituelles épreuves ainsi que du rite du bandeau sur les yeux enlevé, celui-ci semblant déplacé sur un homme qui avait été considéré par beaucoup comme l'un des plus clairvoyants de son époque. Il revêtit à cette unique occasion le tablier de Claude-Adrien Helvétius, qu'il embrassa avec respect. Les honneurs funèbres lui furent rendus en loge le 28 novembre de cette même année.
  • La Henriade lui fut inspirée par sa maîtresse, la maréchale de Villars. Après leur rupture, Voltaire lui adressa ce madrigal[30]:
« Quand vous m'aimiez, mes vers étaient aimables,
Je chantais dignement vos grâces, vos vertus :
Cet ouvrage naquit dans ces temps favorables ;
Il eût été parfait ; mais vous ne m'aimez plus. »
  • En 2000, Frédéric Lenormand publie un roman, La Jeune fille et le philosophe, évoquant l'adoption par Voltaire d'une descendante de la famille Corneille. L'anecdote est tirée du récit qu'en fit Voltaire dans sa correspondance. Hanté par l'ombre de Corneille, il lui sembla extraordinaire de devenir le père adoptif d'une de ses descendantes. C'est pour constituer une dot à cette jeune fille qu'il publia une nouvelle édition des pièces de Corneille, vendue par souscription à tous les princes d'Europe. À noter que la fille de sa pupille fut emprisonnée à Paris sous la Terreur, comme Belle et Bonne, et comme la belle-fille de la belle Émilie, la duchesse du Châtelet, qui fut même guillotinée.
  • Le paléontologue Pierre Teilhard de Chardin, promoteur ardent de l'idée de noosphère, a pour aïeule une sœur de Voltaire.
  • Il est nécessaire de faire justice d'une légende trop répandue. Il est courant d’entendre que Voltaire disait à propos de Marivaux et d'autres : « Grands compositeurs de rien, pesant gravement des œufs de mouche dans des balances de toiles d'araignées ». Or, s'il est exact que cette expression se rencontre effectivement chez Voltaire, elle ne vise nullement Marivaux. On la trouve dans sa lettre du 27 avril 1761 à l'abbé Trublet où il écrit : « Je me souviens que mes rivaux et moi, quand j'étais à Paris, nous étions tous fort peu de chose, de pauvres écoliers du siècle de Louis XIV, les uns en vers, les autres en prose, quelques-uns moitié prose, moitié vers, du nombre desquels j'avais l'honneur d'être; infatigables auteurs de pièces médiocres, grands compositeurs de riens, pesant gravement des œufs de mouche dans des balances de toile d'araignée. » Quant au nom de l'auteur du Jeu de l'amour et du hasard, il ne se trouve pas une seule fois dans la lettre.

Les influences des autres cultures dans ses ouvrages ou l'exotisme voltairien

Dans les ouvrages de Voltaire, on trouve les empreintes de plusieurs cultures. À part la civilisation greco-romaine, il y a l'Orient qui lui sert parfois d'alibi pour opérer une double critique (critique de sa propre société et de la société représentée). L'influence de l'Orient apparaît par exemple dans le conte Zadig. N'oublions pas qu'il est aussi influencé par la culture anglaise.

Ouvrages de Voltaire

16 volumes de ses œuvres ont paru dans la Bibliothèque de la Pléiade.

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